Les allergies sont des dysfonctionnements immunitaires de plus en plus fréquents, très souvent liés à des actions humaines, pollutions environnementales et agressions répétées et banalisées des grands systèmes d’adaptation.
L’allergie peut être définie comme une intolérance, une réaction excessive (« hystérique ») du système immunitaire à la présence de certaines protéines exogènes (antigènes qualifiés alors d’allergènes) dans l’environnement. Pour l’allergique, « le monde est dangereux ». Quand et comment a-t-il acquis cette certitude biologique? Il y eut par le passé un premier contact conflictuel avec l’antigène, et il réagit dès lors de façon excessive à cet antigène, mais aussi à des éléments inoffensifs de l’environnement : acariens, pollens, spores, poussières, squames, poils … L’allergie, c’est le mauvais souvenir d’une première fois.
S’agit-il ici d’une maladie génétique, ou congénitale, ou acquise durant les premiers semaines, mois, années de la vie ? Certaines agressions péri et néonatales, puis durant la petite enfance, peuvent générer un terrain allergique. Notamment les agressions vaccinales répétées quand l’immunité et les flores intestinales sont immatures.
Il existe une multitude de formes d’allergies, depuis les manifestations aigües très impressionnantes (anaphylaxie, urticaire géant dit « échauboulure », oedèmes subis et généralisés) jusqu’à des formes beaucoup plus insidieuses, chroniques, et qui débouchent à terme sur des phénomènes d’auto-immunité.
Les allergies sont de plus en plus fréquentes. Et comme suggéré, ces intolérances ne sont pas toutes dues à des substances organiques issues d’un environnement naturel. Qu’il s’agisse de facteurs prédisposants, ou favorisants, ou déclenchants, il semble bien que ne très nombreux « toxiques culturels » (par opposition aux antigènes présents par milliards dans tous les écosystèmes naturels) soient impliqués, substances issues de la chimie de synthèse, pollutions industrielles ou agricoles, métaux lourds, additifs alimentaires, ou encore agressions iatrogènes comme les vermifuges chimiques de synthèse et les vaccins.
L’effet de distorsion induit par ces milliers de substances toxiques est cumulatif au fil des générations, et atteint de nos jours des niveaux excessivement alarmants. Les grands systèmes régulateurs du vivant, nerveux, endocrinien, immunitaire, microbien … sont touchés et rendus dysfonctionnels. Ce phénomène dramatique est exponentiel, et nous abordons actuellement la pente ascendante (ou descendante …) rapide de l’exponentielle.
Comment aborder l’allergie ? En premier lieu, éviter d’agresser le système immunitaire, d’intoxiquer l’organisme, de détruire les flores intestinales. Tout un programme ! Qui concerne tant le mode de vie (diminuer le stress, respecter les besoins fondamentaux), que la nutrition ou la médecine.
La base de la prise en charge est toujours constituée de Vitabiol et AlgOhm.
En gemmothérapie, le remède est Cassis bourgeons, pour ses vertus régulatrices de l’inflammation et de l’allergie : 10ml / jour dans la bouche, 25 jours / mois, minimum 4 mois (donc renouvelable si nécessaire).
Si le cheval a des ulcères, voir Figuier bourgeons.
Les mois d’entrée de saison, février, mai, août et novembre, utiliser ArOhm 6 3D, 1,5 ml matin et soir dans la bouche pendant 20 jours, en commençant deux jours avant la pleine lune.
En phase de rémission, nous contacter pour un conseil individualisé :
– au niveau respiratoire, lorsque le cheval commence à expectorer les mucus accumulés, il faut l’accompagner avec des cures de PhytOhm Respiration, 15ml matin et soir dans la bouche, 10 jours / mois (dès lors alterné avec Cassis 20 jours / mois)
– au niveau cutané, lorsque la dermite s’atténue, favoriser la cicatrisation cutanée avec PrepOhm 10, 10ml / jour dans la bouche (espacer les prises au fil de l’amélioration).